À chaque époque, ses égéries et ses codes. Une habituellement spécialisée dans les vidéos de sport décide, en cette fin d’année 2018, de faire le bilan de ce qui caractérise la « femme parfaite » à travers les âges.

Pour se faire, elle s’illustre elle-même à travers des montages photo dans lesquels elle déforme son propre corps au gré des « envies » de l’époque.
Grâce à elle, on peut constater que, de 1400 à 1700, les femmes sont aux formes affirmées avec une peau d’orange non dissimulée, des bras, des hanches et des fesses « fortes ».
Ce n’est qu’à partir de 1920 que l’allure de la femme « parfaite » devient androgyne, voire masculine. Pour être jolie à l’époque, il ne faut plus avoir ni de hanches, ni de poitrine, ni de taille spécialement marquée.
En 1950, nouvelle révolution, c’est l’apparition de la taille de guêpe, plus la taille est fine par rapport aux hanches prononcées et la poitrine généreuse, plus vous êtes « au top ».
En 1990, c’est le retour en arrière, la femme « belle » n’est plus androgyne mais enfantine et désastreusement maigre. Elle n’a pour ainsi dire plus rien d’une adulte.
En l’an 2000, la femme « idéale » est toujours très mince. Elle « doit » avoir de longues jambes et une forte poitrine pour répondre aux codes de l’époque.
En 2018, l’allure à laquelle toutes les femmes impactées par ce phénomène sociétal veulent ressembler, c’est un mix de toutes les versions précédentes. La milléniale doit avec de grosses fesses rondes sans cellulite, une forte poitrine et une taille extrêmement dessinée.
Un savant montage qui révèle que les tendances sont probablement à l’origine de tous les complexes des femmes. Alors, ne soyez pas si docile sur le sujet et évoluez à votre rythme, plutôt qu’avec votre temps !

Enjoy,

Les Éclaireuses

  

 
 
 
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