« Tu as besoin d’une voiture pour aller travailler, tu travailles pour rembourser la voiture que tu viens d’acheter… »

Pour ne pas tomber dans ce cercle vicieux, parce que vous n’avez pas la foi de rester bloquer trois ans dans les bouchons, et parce que, ah oui, vous n’avez toujours pas passé votre permis, vous avez fait le choix (par défaut) d’emprunter les transports en commun.

Car oui, dans la vie, il faut bien se nourrir – et faire du shopping accessoirement . Pour cela, vous devez alors vous rendre chaque jour au travail et donc prendre le métro, le bus ou le tram.

Vous vous consolez en vous disant que c’est écolo et que vous faites un sacré geste pour notre belle planète. Mais il n’empêche, qu’il y a des jours, où vous vendriez votre chat pour avoir un bon gros Hummer avec jantes métalliques et ne plus subir cet enfer quotidien !

Pour toutes ces journées où la routine se transforme en parcours du combattant et pour vous prouver que l’on est toutes dans la même galère, nous vous avons répertorié 25 pensées que l’on a toutes déjà eues dans les transports en commun.

Enjoy,

Les Éclaireuses

 

1 – « Pouah ! Il aurait peut-être dû prendre une douche, celui-là ! »

L’odorat est sans aucun doute le sens qui souffre le plus dans les transports en commun. Avec le temps, vous avez donc élaboré toute une stratégie et ne sortez jamais sans votre foulard imbibé de parfum dans lequel enfouir votre nez en cas de besoin. Il n’empêche que quand vous mesurez 1m60 et que votre tête arrive pile sous l’aisselle du voisin, même un flacon entier ne suffirait pas !

 

2 – « Cet enfant est flippant »

Les enfants, ça peut être très mignon, mais quand ils vous fixent tout le long du trajet, ils peuvent devenir un brin flippants.
(Cf : – points 8 et 10)

 

3 – « Vas-y, laboure-moi les pieds, je ne te dirais rien ! »

Il y a des jours où vous aimeriez porter des chaussures de sécurité avec bouts renforcés. Et pour cause, votre gentil voisin – qui n’est pas fichu de faire attention – vient encore de vous écraser violemment les doigts de pied. Une situation qui, en été, peut carrément tourner à la boucherie.

 

4 – « Toi, ta mère ne t’a jamais appris la discrétion… »

« Ça va, vous ne voulez pas un thé et des petits gâteaux ? » Certaines personnes ont en effet la fâcheuse tendance à se croire dans les transports comme si elles étaient au café du coin. Vous avez ainsi été ravie d’apprendre que Julie n’avait pas trop le moral depuis sa rupture avec Sylvain qui maintenant sort avec Clara. Franchement, ça ne se fait pas !

 

5 – « Wow, elle a l’air cool sa série ! »

Dans les transports, tout est bon pour passer le temps. Alors quand vous découvrez que votre voisin regarde une série sur son téléphone, c’est une sacrée aubaine ! Peu importe si vous ne comprenez rien et que vous n’avez pas d’écouteurs, vous vous laissez captiver.

 

6 – « À mon avis, lui, il a mal dormi cette nuit »…

Votre passion dans les transports en commun ? Observer les gens pour ensuite être en mesure de mener une étude sociologique sur chacun d’eux. « Tiens, lui, il a une casquette, sûrement pour cacher une calvitie naissante… » ou encore « Houla, vu ses petits yeux, elle a du faire la java hier soir ! » #doctoratenpsychologie

 

7 - … « Et elle, j’aimerais bien connaître la marque de ses chaussures »

Et puis, à observer la garde-robe de tout le monde, il arrive que vous craquiez pour la paire de chaussures de votre voisine et alors là, vous laissez de côté l’analyse pour passer le reste du trajet à vous demander où elle a bien pu les shopper. Pour ça,  !

 

8 – « C’est l’heure de pointe, debout ! » 

In-sup-por-tables ! Voilà ce qui qualifie les fainéants qui restent assis sur les strapontins à l’heure de pointe. Non seulement ils manquent cruellement de savoir-vivre, mais en plus, ils feignent de ne pas remarquer la foule qui s’amasse à côté d’eux. #enviedetaper

 

9 – « Eh, voilà encore un problème ! »

Problème Number One de tous les usagers des transports en commun : les pannes à répétitions. Il y en a tellement et pour tellement de motifs différents que vous en êtes venue à lancer des paris. « Alors c’est quoi aujourd’hui ? » Mais ça c’est quand vous n’êtes pas bloquée dans le noir entre deux stations avec votre claustrophobie latente qui commence à monter et qui vous donne envie de crier « on va tous mourir ! ».

 

10 – « Il ne serait pas en train de me faire les poches lui ? »

« Ah, qu’est-ce qu’on est serrées au fond de cette boîte… » Quand vous vous retrouvez collée comme une sardine à vos voisins de galère, le moindre mouvement, même le plus anodin, devient alors très vite suspect. Beware of pickpockets et aux pervers !

 

11 – « Il est bourré le chauffeur ou comment ça se passe ? »

Alors que certains trajets se passent sans encombre, d’autres peuvent vite passer pour des voyages sur mer agitée. À tel point, qu’après vous être retrouvée 3 fois sur les genoux de votre voisin, vous en venez à douter de la sobriété du conducteur !

 

12 – « Je te laisse ma place, mais c’est vraiment parce que c’est ton jour de chance »

C’est bien malheureux, mais les transports en commun ont cet horrible pouvoir de vous faire détester tout le monde. Et principalement les vieux et les femmes enceintes. Pourquoi ils auraient le droit de s’asseoir et pas vous, d’abord ? #tienstiensvoilàduboudin

 

13 – « Faut pas que je m’énerve, je ne suis pas pressée après tout... mais bouge-toi toi ! Alleeezzzzz » 

« Aaaaah, les citadins toujours pressés ! » Remarque typique du provincial qui se déplace toujours pépouze dans SA voiture avec SA musique et SA clim. Pourtant on parie que lui aussi, s’il vivait comme vous les joies du métro à l’heure de pointe, il aurait envie de fuir le plus vite possible !

 

14 – « My god, qu’est-ce qu’il est beau lui, faut que je regarde où il descend »

Ce n’est pas pour rien que le compte a été créé ! Les transports en commun sont en effet un excellent moyen de croiser de magnifiques spécimens de la gent masculine et de se rincer l’œil. Enfin un avantage !

 

15 – « Houla, il va calmer sa joie celui-là. Ça va finir en eau de boudin »

Du gentil fou qui délire en solo aux deux sangs chauds prêts à en venir aux mains, les transports en commun regorgent de phénomènes un brin flippants, voire totalement schizophrènes ascendants psychopathes. Et dans ces cas-là, on a juste envie de sortir et d’attendre le prochain métro/bus.

 

16 – « Il ne pourrait pas plutôt jouer du Beyoncé ? »

Les musiciens des transports en commun c’est bien gentil, mais Joe Dassin et les Gipsy King, vous commencez à vous lasser. À quand une reprise de Single Ladies à l’accordéon ?

 

17 – « Mais quel lourd ! Et évidemment, personne ne dit rien ! »

Le harcèlement dans les transports, ce n’est pas un mythe, c’est une réalité. Vous n’en avez que trop fait l’expérience. Et presque à chaque fois, c’est la même chose, votre cœur bat la chamade, vous flippez comme pas permis, mais personne ne réagit. Faudrait peut-être que ça change…

 

18 – « Ce n’est pas trop la honte de lire Fifty Shades ?... »

Autant vous auriez dans la main la reliure complète des Misérables, vous auriez envie que tout le monde le voie et applaudisse. Mais quand votre lecture est plus du genre 50 nuances de Grey, vous avez un peu plus de mal à assumer. Bah pourquoi ?

 

19 – « Ils sont chiants, ces touristes »

Valises énormes dans le métro bondé, mauvaise file dans l’escalator… Ce n’est pas vraiment de leur faute, ils ne le font sûrement pas exprès, mais il n’empêche que les touristes manquent cruellement de respect quand il s’agit des règles de savoir-vivre dans les transports en commun. En plus, ils sont en vacances, eux !

 

20 – « Ne me sous-estimez pas, je suis passée pro en Tétris »

« Vous pensez que cette rame est pleine ? Naïfs ! » Peu importe s’il semble ne plus y avoir de place, vous trouverez toujours un moyen de vous faufiler. Deux métros bondés viennent déjà de vous passer sous le nez, vous n’alliez quand même pas laisser filer le troisième !

 

21 – « Surtout ne pas toucher la barre ! Je bosse mon équilibre »

« A-a-a-tchoum ! » Entre le voisin de droite qui éternue dans sa main avant de s’essuyer sur la barre du métro/bus et celui de gauche qui a les mains moites, les transports en commun peuvent vite se transformer en véritable nid à microbes et vous avez bien souvent des raisons de faire la grimace. Dégoûtée par tous les micro-monstres que vous imaginez grouiller sur les poignées de sécurité, vous faites donc tout votre possible pour ne jamais y toucher, quitte à effectuer parfois un vrai numéro d’équilibriste. Et si par malheur ça vous arrive, vous faites en sorte de saisir la partie « froide » qui vous paraît quand même plus safe.

 

22 – « OK les chiens c’est mignon, mais dehors ! »

« Oh, comme il est mignon ! » Ou pas. En général, vous n’avez rien contre la gent canine, mais quand le chien du voisin de métro/bus ne peut pas s’empêcher de grogner et/ou qu’il occupe l’espace précieux de trois personnes à lui tout seul, c’est vous qui avez envie d’aboyer !

 

23 – « Franchement, je me demande ce que les architectes du métro avaient dans le crâne ! »

Non, mais franchement les gars, ça monte, ça descend, ça remonte, ça redescend, ça bifurque... Alors certes une fois que l’on a fait notre aller-retour de métro quotidien, on a fait notre sport de la journée (ce qui est un avantage indéniable), mais avouez que votre affaire, c’est quand même un immense freestyle !

 

24 – « Droit devant, droit devant ! »

Chaque jour c’est la même chose ! À l’heure de pointe, une foule immense se déverse dans les couloirs du métro et entame son périple vers la sortie ou le prochain quai. Bloquée au milieu de tout ce beau monde qui avance comme un seul homme vers un seul et même but, vous ne pouvez alors pas vous empêcher de penser au Monde de Némo et au banc de poissons qui tente de fuir les pêcheurs en nageant droit devant, droit devant. Sauf que vous à ce moment précis, c’est votre quotidien que vous voudriez fuir.

 

25 – « Pitié, faites que personne ne remarque la goutte de sueur qui coule dans mon dos »

Vous ne savez pas si c’est la chaleur humaine ou autre chose, mais il n’empêche que les transports en commun semblent parfois être un vrai microcosme où la température évolue totalement indépendamment de la météo extérieure. Il arrive donc régulièrement que vous partiez de chez vous couverte comme un trappeur pour affronter la pluie et le froid glacial pour finalement vous retrouver manteau sur le bras, en nage, à prier que personne ne le remarque. #VDM

 

Photo de couverture : Freeform 

 

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