Instagram, aujourd’hui, fait partie de notre quotidien : poster nos repas trop instagrammables, liker les photos de nos copines qui sont au bord d’une piscine, commenter les stories de notre chéri, jouer avec les boomerangs et les filtres pour rendre nos posts pétillants.

Mais imaginez si cela avait été le cas durant la Seconde Guerre Mondiale ?

"Salut, je m’appelle Éva et j’ai 13 ans. Nous sommes en 1944, et c’est la guerre. Mais j’essaie toujours d’être heureuse".

Éva Heyman vient d'avoir sa première paire de talons pour son 13e anniversaire, elle-même se filme en train de manger de la glace dans le parc, dans lequel elle a un coup de foudre pour un garçon. Elle danse et s'amuse avec ses amies. Lorsqu'en pleine nuit, elle se voit devoir partir de sa maison avec sa famille...

En préparation de la Journée de commémoration de l’Holocauste, le journal intime d'Éva Heyman est adapté dans plus cinquante stories Instagram qui dévoile son quotidien. Toutes les 30 minutes sur le compte @eva.stories, un nouveau post apparaîtra, comme si la jeune fille avait eu un smartphone et des réseaux sociaux lors de la Shoah. Grâce aux emojis et hashtags, une actrice met en action le quotidien de la jeune fille qui a fini ses jours dans le célèbre camp d’Auschwitz.

Une campagne de sensibilisation mise en place par l’agence Leo Burnett Israël et portée par l’entrepreneur Mati Kochavi et sa fille Maya. En deux semaines, le compte Instagram d’Éva a été suivi par 748 000 abonnés.

Vous n'avez jamais vu ce genre de stories.  

Enjoy, 

Les Éclaireuses

 

 
 
 
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