Don't wanna feel another touch

Don't wanna start another fire

Don't wanna know another kiss.... I'll never love again, oh, oh, oh, oh !

En chantant qu'elle n'aimera plus jamais, Lady Gaga nous a coupé le souffle. On a eu de la peine pour son personnage qui venait de perdre l'amour de sa vie sans même lui avoir fait ses au revoir... Oh non, ça recommence, que quelqu'un nous donne un mouchoir !

Si les chansons de la reine de la pop nous donnent déjà des frissons, dans A Star Is Born, la belle se livre à un show émouvant où les larmes ruissellent sur son visage alors qu'elle débute sa chanson. 

Mais sachez que ces larmes n'ont rien de faux et la chanteuse devenue actrice n'était pas réellement en train de jouer lorsque la scène a été tournée. 

Pour le tournage du film, Bradley Cooper et Lady Gaga ont choisi d'interpréter en live toutes les chansons de la bande-son sans même les enregistrer en studio ! La raison : apporter une part de réel au film. 

Et si le film a secoué le monde entier, il va bientôt avoir droit à un joli documentaire révélant tous les secrets de sa réalisation. Des images inédites ont déjà été dévoilées et c'est dans ses extraits que l'on apprend la véritable histoire derrière les larmes de Lady Gaga lorsqu'elle chante "I'll never love again". 

Juste avant le tournage de la scène, Lady Gaga a appris le décès de sa meilleure amie, atteinte d'un cancer du sein, du cerveau et des poumons, en phase terminale. Elle a alors immédiatement quitté le tournage pour la rejoindre à l'hôpital et lui faire ses au revoir, mais après avoir eu le mari de celle-ci au téléphone, elle prend la décision de revenir sur le plateau et de rendre hommage à son amie disparue. 

Elle a ainsi demandé à toutes les personnes présentes sur le tournage de l'aider et de penser à son amie, mais aussi à son mari et à toutes ces personnes qui ont perdu quelqu'un pour que "leur énergie soit entendue dans l'au-delà". 

Un magnifique geste de la chanteuse qui a marqué les esprits grâce à sa performance incroyablement émouvante.

Enjoy,

Les Éclaireuses

 

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