"Il n’y a pas de réussites faciles ni d’échecs définitifs", disait Marcel Proust.

Cette citation, qui date de 1918, ne m'a - à titre personnel - jamais semblé plus d’actualité qu’aujourd’hui, en 2020. Et si les plus grands de ce monde ont essuyé, à leurs débuts, des refus, des échecs et des déceptions avant d’atteindre la réussite, à force d’engagement et de détermination, je dois me rendre à l’évidence : rien n’est question de hasard, mais plutôt de persévérance.

Finalement, il faut arrêter de voir l’échec comme une fatalité. En réalité, c’est un véritable voyage d’introspection qui multiplie les occasions d’apprendre, de mieux se connaître et d’avancer pas à pas vers la réussite. C’est à ce moment précis que je vous livre une deuxième citation, qui prend à nouveau tout son sens.

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme », Winston Churchill.

Si l’on a intégré ces deux mantras, je suis persuadée qu’on a toutes les clés en main pour connaître le succès, à notre tour. Et si l’on manque de repères, voici 5 commandements qui devraient vous y pousser encore un peu plus.

Enjoy,

Les Éclaireuses

 

1. J’arrête d’imaginer le pire de moi-même

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Penser que je vais tout rater ne m’a clairement jamais aidée et m’a d’ailleurs au contraire fait perdre à de nombreuses reprises ma confiance et mon estime de moi-même. En revanche, si je pars du principe qu’il n’y a aucune raison que j’échoue, là, tout à coup, tout me semble plus facile d’accès et je me sens légitime à tenter ma chance, si ce n’est même à remporter la manche.

 

2. J’arrête le cynisme

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Pour la simple et bonne raison qu’en vouloir à la Terre entière ne m’apporte strictement rien et me place finalement dans une énergie négative qui ne me fait que me renfermer sur moi-même. Aucun intérêt alors, mis à part me faire perdre mon énergie et louper des opportunités qui n’ont pas de prix. Aujourd’hui, je souris à chaque échec, car finalement, dans chaque échec, il y a toujours du positif à tirer.

 

3. J’arrête les lamentations

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J’ai bien compris que me noyer dans mes larmes et pleurnicher sur la taie de mon oreiller m'était d’une inutilité évidente. Inutile également de ressasser et de rester bloquée dans le passé en passant en revue tout ce que j’ai fait de mal. C’est le meilleur moyen pour me persuader que je n’ai pas le droit à la réussite et au bonheur. Alors, je comprends, j’apprends et je me relance.

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4. J’arrête de me comparer

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Dans la vie et sur les réseaux sociaux. Même si c’est une tendance humaine naturelle à vouloir ce que les autres possèdent, j’ai pris conscience que j’étais une entité à part entière. Je me trouve, je me construis et je comprends ce qui est bon ou pas pour moi, et tant pis si ce n’est pas le cas pour la voisine. Et depuis, je ne me sens plus lésée, j’ai même l’impression d’avoir un wagon d’avance.

 

5. J’arrête de vouloir que tout soit parfait

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J’ai toujours été perfectionniste et j’aime que le travail soit bien fait. Sauf qu’avant, je ne faisais aucune différence entre les deux. Chercher la perfection dans chaque chose que je réalisais n’a été qu’un vilain à frein à mon entrain et à ma créativité. Cette fois, je ne me pose plus dix mille questions et je saute sur chaque occasion !

 

Tags : psychologie